« La diversité biologique traduit les capacités de la vie à inventer et transformer les êtres soumis au mécanisme de l’Évolution. La perte en diversité ne provient pas – comme on le pense – d’une mise en concurrence des représentants de cette diversité sur le même terrain de lutte, mais de la disqualification des milieux sur lesquels ils se trouvent en concurrence.
L’activité biologique dépend de la qualité des substrats biologiques :
– l’eau
– l’air
– le sol »
Abécédaire pour une écologie humaniste
Gilles Clément, Louisa Jones
in « Une écologie humaniste » – Éditions Aubanel – 2007