« Ces dernières années, l’idée que les jardins sont autant de refuges pour la faune sauvage s’est de plus en plus imposée. C’est encore plus vrai pour les zones urbaines ou périurbaines. Même sans être spécifiquement gérés en tant que tels, les jardins et espaces verts offrent des habitats tout à fait appréciables à la faune, et ils accueillent la biodiversité bien plus que ne le fait un champ d’agriculture intensive. Les jardins conçus dans le respect de la biodiversité s’insèrent donc à leur manière dans le vaste tissu écologique. »

Piet Oudolf, Noël Kingsbury – Paysagistes, pépiniéristes

in Jardins d’avenir – Éditions du Rouergue – 2006