« Après la chute du second empire, le tourisme a concouru à créer de grandes associations, et peu à peu les discours sur la forêt, « source de bois d’oeuvre », « moyen de protéger l’équilibre des pentes », « glacis militaire de protection », cèdent la place à ceux qui défendent la forêt comme paysage. »

Jean Viard, sociologue

in Penser la nature, Tiers espace entre ville et campagne – Éditions de l’Aube, 2012 (réédition)